jeudi 21 avril 2011

*A propos de l'UNESCO*


L’UNESCO s’emploie à créer les conditions d’un dialogue entre les civilisations, les cultures et les peuples, fondé sur le respect de valeurs partagées par tous. C’est par ce dialogue que le monde peut parvenir à des conceptions globales du développement durable intégrant le respect des droits de l’homme, le respect mutuel et la réduction de la pauvreté, tous ces points étant au coeur de la mission de l’UNESCO et de son action. 

Les grandes orientations et les objectifs concrets de la communauté internationale – tels qu’énoncés dans les objectifs de développement convenus au niveau international, notamment les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) – sous-tendent toutes les stratégies et activités de l’UNESCO. Ainsi, les compétences uniques de l’UNESCO dans les domaines de l’éducation, des sciences, de la culture, de la communication et de l’information contribuent à la réalisation de ces buts.
La mission de l’UNESCO est de contribuer à l’édification de la paix, à l’élimination de la pauvreté, au développement durable et au dialogue interculturel par l’éducation, les sciences, la culture, la communication et l’information. L’Organisation se concentre, en particulier, sur deux priorités globales :
Et plusieurs objectifs primordiaux :
• assurer une éducation de qualité pour tous et l’apprentissage tout au long de la vie
• mobiliser le savoir et la politique scientifiques au service du développement durable
• édifier des sociétés du savoir inclusives grâce à l’information et à la communication

**********

Qui nous sommes

L'UNESCO compte 193 Etats membres et 7 Etats membres associés. Ses organes directeurs sont la Conférence générale et le Conseil exécutif. Le Secrétariat, dirigé par le Directeur général, met en oeuvre les décisions de ces deux organes.

Ce que nous faisons
La Conférence générale fixe les objectifs et les priorités de l'Organisation tous les deux ans et définit le budget. Le Conseil exécutif  se réunit deux fois par an pour suivre la mise en oeuvre du programme

Où nous sommes
Le siège de l'UNESCO se trouve à Paris, dans un bâtiment exceptionnel et moderne. Inauguré en 1958, il vient d'être rénové. L'Organisation dispose aussi de plus de 50 bureaux hors siège dans le monde. 

UNESCO

Bien à vous,
Morgane BRAVO

*La Directrice générale de l'UNESCO Irina Bokova : appelle à plus de solidarité pour la réduction des risques nucléaires*

Dans son discours prononcé mercredi 20 avril à Kiev lors de la conférence internationale «Vingt-cinq ans après l'accident de Tchernobyl. Sécurité pour l'avenir », la Directrice générale de l'UNESCO, Irina Bokova a souligné l'importance du travail à mener, qui doit mobiliser tous les domaines politiques au-delà des clivages traditionnels entre les disciplines. La Conférence était présidée par le Premier ministre d'Ukraine, Mykola Azarov et le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon. Irina Bokova a notamment souligné qu’«Après Tchernobyl, la sécurité n’est pas une question uniquement « nationale ». Elle ne relève pas de la compétence exclusive des États –elle implique les individus, et concerne la société dans son ensemble. C’est le message autour duquel nous nous réunissons aujourd'hui - un message de solidarité, fondé sur les droits et la dignité », a-t-elle insisté.
En marge de la Conférence, Irina Bokova s’est entretenue avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères. Elle a rappelé la contribution importante du pays à la coopération internationale et aux principaux domaines d’intervention de l'UNESCO. De son coté, Kostyantyn Hryschenko a souligné la volonté de l'Ukraine de renforcer la coopération avec l'Organisation.
La Directrice générale a également visité le monastère de Lavra en compagnie du Ministre de la Culture Mikhaïl Kuliniak, où elle a été reçue en audience par Sa Béatitude Vladimir, Métropolite de Kiev et de toute l'Ukraine, le Chef de l'Eglise orthodoxe ukrainienne
UNESCO

Bien à vous,
Morgane BRAVO

*Commission nationale Française pour l’UNESCO*

 

Rôle et mission

Présentation

L’acte constitutif de l’UNESCO prévoit la création de commissions nationales dans chacun des Etats membres. Créée par un décret du 2 avril 1946, la Commission nationale française, commission du pays hôte du siège de l’UNESCO, est la première à être mise en place. Elle est placée sous la tutelle des ministères de l’Education, de la Culture et de la Communication et des Affaires étrangères.

Interface entre la France et l’UNESCO, la Commission nationale a plusieurs missions :
1. Contribuer, en liaison avec la Délégation permanente, à l’influence intellectuelle de la France à l’UNESCO :

- constituer un réservoir d’experts de haut niveau (membres de la Commission) représentant un large panel des attentes de la communauté intellectuelle française et des ministères
- servir de laboratoire et lieu d’échanges d’idées (comités, groupes de travail, chaires Unesco,...)
- être une force de propositions destinée à nourrir et renouveler les programmes de l’UNESCO.
2. Promouvoir l’influence de l’UNESCO et de ses valeurs auprès de la société française :

- informer et sensibiliser sur l’UNESCO
- coordonner et animer, au plan national, les réseaux mis en place par l’UNESCO pour faire connaître ses programmes (écoles associées, chaires UNESCO)
- développer des coopérations avec la société civile (associations, secteur privé)
- initier et mettre en œuvre des coopérations internationales dans les domaines de compétences de l’UNESCO avec les autres commissions nationales et les organisations internationales (Conseil de l’Europe, Organisation intergouvernementale de la Francophonie,...)
  • Composition de la Commission :

    - membres élus par les groupements éducatifs, scientifiques et culturels
    - personnalités désignés par le gouvernement
    - représentants du Parlement, des grands corps de l’Etat, de l’administration, des principales institutions et organismes oeuvrant dans les domaines de compétences de l’UNESCO mettant bénévolement leurs compétences au service de la coopération intellectuelle internationale.
  • Extrait du manuel des commissions nationales publié par l’UNESCO et élaboré en coopération avec la Commission française
UNESCO
    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    mardi 19 avril 2011

    *Haiti: Making culture a motor for reconstruction...*



    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    *Le Festival du Film Francophone, organisé par le Groupe Francophone auprès de l’UNESCO, l’Alliance Internationale et la Cité internationale, a été lancé le jeudi 17 mars 2011, à la Fondation Biermans Lapôtre*



      Chers anciens, chers amis,

    La francophonie a été largement célébrée cette année par l'Alliance Internationale : la Dictée des Mots d'or 2011, le Festival de films francophones « Voyage à travers les films » et le 1er concours de récits « 17 boulevard Jourdan », où nous invitions chacun à raconter sa Cité internationale.

    Lundi 2 mai, nous vous convions tous à la soirée de remise des prix du concours de récits, qui viendra clore cette série d'événements. Venez découvrir les lauréats de cette première édition et assister à la lecture de leurs récits par des comédiens, en présence du Jury, présidé par l'écrivain turc Nedim Gürsel.

    ***300 amateurs de cinéma se sont retrouvés à l’occasion de la soirée d’inauguration pour visionner "Benda Bilili", orchestre des rues de Kinshasa, devenu mondialement célèbre. Ce documentaire émouvant a initié un cycle de projection de films exceptionnels, à l’image de la diversité culturelle des pays membres du Groupement Francophone auprès de l'Unesco, et a mis à l’honneur la pluralité des expressions au sein de la Francophonie.


    Ainsi, du 17 au 20 mars, 31 films de 21 pays ont pu être visionnés au Collège d’Espagne, au Collège Franco-britannique, à la Fondation Biermans-Lapôtre, à la Fondation Hellénique, à la Fondation Suisse, à la Maison des étudiants Canadiens et à la Maison Heintich Heine.

    L'équipe de l'Alliance

    Alliance Internationale 

    *BREF APERCU : "Rassemblement des anciens résidents de la Cité Internationale Universitaire de Paris" * http://rencontrecbiparisgrandparis.blogspot.com/2010/09/bref-apercu-rassemblement-des-anciens.html 

     

     *LA MONDIALISATION & LA FRANCOPHONIE* http://mondialisationchancepourfrancophonie.blogspot.com

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    lundi 18 avril 2011

    *Des philosophes d’Afrique et de la diaspora africaine des Amériques vont se pencher sur des défis partagés*

    L’Afrique et sa diaspora est le thème d’un dialogue philosophique entre l’Afrique et les Amériques qui se tiendra du 18 au 20 avril à l’Université Purdue (Etats-Unis).

    Organisée par l’UNESCO en partenariat avec la Alain Locke Society, cette conférence réunira des philosophes réputés, originaires d’Afrique ou appartenant aux diasporas africaines des Amériques, afin de traiter des défis philosophiques communs. Il s’agit notamment de Lewis Gordon, Enrique Dussel, Lucius Outlaw, Nkolo Foé et John Ayotunde Isola Bewaji.
    Six tables rondes se dérouleront au cours de ces journées. Elles porteront sur : Philosophie africaine, une nouvelle discipline ; Philosophie née du combat : débat sur les philosophies américaines et latino-américaines de libération ; Communautés fragmentées : une histoire, plusieurs mémoires ; Descendants d’africains : reconnaissance, justice et développement ; Que peut faire la philosophie ; Cultures orales, langues et philosophie ; Explorations artistiques de la réalité.
    Les débats seront retransmis en ligne en anglais, français, espagnol et portugais (http://www.cla.purdue.edu/unesco/). Des interviews vidéo de philosophes et les enregistrements des débats de la conférence seront archivées et disponibles à la demande.
    La conférence a été conçue pour sensibiliser au fait que, malgré des identités partagées, il y a très peu de vrai dialogue entre les philosophes africains et ceux de la diaspora africaine. Pour combler ce manque, les participants vont mettre en place un réseau d’universitaires couvrant l’Afrique, l’Amérique latine, les Caraïbes et l’Amérique du Nord. Ils poseront également les fondations d’une e-bibliothèque consacrée à la philosophie africaine.
    La conférence est organisée dans le cadre de la célébration de l’Année internationale des personnes d’ascendance africaine (2011), avec le soutien financier de l’Organisation islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ISESCO).

    UNESCO
                        

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    *Un site web pour donner le coup d’envoi des célébrations aux Etats-Unis de la Journée mondiale de la liberté de la presse 2011*

    Le coup d’envoi des célébrations internationales de la Journée mondiale de la liberté de la presse 2011 a été donné avec le lancement du site web WPFD2011, consacré à un des événements clés de la Journée, la conférence internationale Les médias du XXIème siècle : Nouvelles frontières qui se tiendra aux Etats-Unis (Washington, DC) du 1er au 3 mai.


    Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO / Guillermo Cano 2011 - qui récompense une personne, organisation ou institution ayant contribué d’une manière notable à la défense de la liberté de la presse, surtout si pour cela elle a pris des risques – sera remis lors de la Journée, le 3 mai, dans le cadre des événements de Washington.
    Le site WPFD2011 propose l’ordre du jour de la conférence et des formulaires d’inscription pour ceux qui voudraient y assister. La conférence – avec débats, présentations informatives et événements commémoratifs - se tiendra au Newseum, au National Press Club et à d’autres endroits de la ville.
    Cette année est marquée par le vingtième anniversaire de la Déclaration de Windhoek qui a mis l’accent sur l’importance d’une presse libre et pluraliste pour le développement et la préservation de la démocratie et des droits de l’homme. Le 4 mai, la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, se joindra au Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, et à d’autres personnalités pour célébrer cet anniversaire au siège des Nations Unies à New York. Ils participeront à une table ronde consacrée au développement des médias libres et pluralistes en Afrique depuis l’adoption de la Déclaration de Windhoek.
    La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, a déclaré : « Le programme de la Journée mondiale de la liberté de la presse 2011 est conçu pour encourager un débat mondial sur quelques unes des grandes questions de notre temps et pour soutenir ceux qui se battent, un peu partout dans le monde, pour faire progresser la liberté d’expression. Ensemble, nous explorerons les opportunités, mais aussi les menaces, que représentent les nouvelles technologies et les réseaux sociaux pour la liberté de la presse. La Journée mondiale de la liberté de la presse 2011 offrira un forum où les défenseurs de la liberté de la presse, les journalistes et les décideurs politiques pourront aborder ces défis en vue de les inscrire à l’ordre du jour mondial ».
    L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) organise les commémorations de la Journée mondiale de la liberté de la presse afin de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse, d’évaluer les menaces, nouvelles et non, sur la liberté d’expression, et de saluer les journalistes et activistes qui se mettent en danger pour que toujours plus de personnes aient accès à l’information. L’édition 2011 est organisée par l’UNESCO, le Département d’Etat américain et une vingtaine d’acteurs de la société civile, dont la Fondation des Nations Unies et la Fondation John S. et James L. Knight.
    Parmi les principaux intervenants à la conférence de Washington figurent : Irina Bokova ; la sous-secrétaire d’Etat aux Affaires publiques, Judith McHale, et la sous-secrétaire d’Etat à la Démocratie et aux Affaires mondiales, Maria Otero. Participeront également quelque 80 grandes voix de la liberté de la presse, dont Wael Abbas, blogueur (Misr Digital, Egypte), Oscar Morales Guevara, créateur (groupe Facebook Un million de voix contre les FARC, Colombie), Bob Woodward, rédacteur en chef adjoint (Washington Post, Etats-Unis),  Xiao Qiang, directeur (China Internet Project, UE-Berkeley) et fondateur du China Digital Times.
    Les événements de Washington et New York sont les moments phares des commémorations de cette année mais la Journée sera célébrée dans plus de 100 pays. Pour avoir plus d’information sur les diverses célébrations
                                                                                        ****  
    Voir aussi :

    A propos de la Journée mondiale de la liberté de la presse
    La Journée mondiale de la liberté de la presse est célébrée tous les ans le 3 mai un peu partout dans le monde. L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) organise les commémorations de cette Journée afin de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse, d’évaluer la situation de la liberté de la presse, de saluer les journalistes qui ont perdu la vie en exerçant leur métier. En décembre 1993, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 3 mai  Journée mondiale de la liberté de la presse. Depuis cette date, elle a été célébrée tous les ans le 3 mai, jour anniversaire de la Déclaration de Windhoek, déclaration consacrée aux principes d’une presse libre et rédigée par des journalistes lors du séminaire Promouvoir une presse africaine indépendante et pluraliste qui s’est tenu à Windhoek (Namibie) en 1991. Elle se prononce pour des médias libres, indépendants et pluralistes partout dans le monde et les considère fondamentaux pour la démocratie. 

    Journée mondiale de la liberté de la presse
    La conférence (1-3 mai) de cette année est organisée conjointement par l’UNESCO, le Département d’Etat américain, le Center for International Media Assistance at the National Endowment for Democracy, l’IREX et la Fondation des Nations Unies

    04.04.2011
    UNESCO

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    *L’Éducation pour tous ne concerne pas exclusivement les pays en développement, déclare la Directrice générale de l’UNESCO lors d’une réunion sur l’éducation des enfants roms*

     « L’éducation pour tous n’est pas une question qui concerne exclusivement les pays en développement, » a déclaré Mme Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, lors de la session d’ouverture d’une Réunion consultative sur « La promotion du droit des enfants roms à une éducation de qualité » (UNESCO, 7 avril). Elle a présenté l’éducation des enfants roms comme « l’un des défis éducatifs les plus importants pour les sociétés européennes ».

    S’adressant aux délégués, représentants ministériels et experts de huit pays d’Europe centrale et orientale (Bulgarie, Croatie, Hongrie, Roumanie, Serbie, Slovaquie, Slovénie et Ukraine) ainsi qu’aux représentants du Conseil de l’Europe et de la Commission européenne, la Directrice générale a souligné que « l’exclusion et la marginalisation s’imposent partout, à différents degrés, y compris au cœur de l’Europe. » Mme Bokova a également indiqué apporter son soutien à la stratégie de l’Union européenne récemment annoncée pour améliorer la situation critique des Roms.   
    M. Qian Tang, Sous-Directeur général de l’UNESCO pour l’éducation, a affirmé que le droit des Roms à une éducation de qualité était l’une des grandes priorités de l’UNESCO et que cette question était essentielle en termes de qualité et d’équité des systèmes éducatifs.  
    Avec une population qui, selon certaines estimations, serait comprise entre 8 et 12 millions, les Roms composent la plus grande des minorités européennes. De nombreux obstacles les empêchent d’exercer leur droit à l’éducation. La faiblesse des taux de scolarisation est un problème courant et la ségrégation à l’école a entraîné une faible assiduité et des taux d’abandon élevés.   
    Pendant la consultation, l’éducation des enfants roms a été présentée comme un problème juridique, une question de valeurs ou un sujet lié à l’intégration. Elle a permis de comprendre les obstacles qui entravent l’accès des enfants roms à une éducation de qualité : la pauvreté, la langue, les différences culturelles et les rôles traditionnellement dévolus à l’un et l’autre sexe qui empêchent les filles, en particulier, de bénéficier de l’exercice de leurs droits.  
    UNESCO
    11.04.2011

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    lundi 11 avril 2011

    *Prix UNESCO/Bilbao : pour la promotion d’une culture des droits de l’homme (ancien Prix UNESCO de l'éducation aux droits de l'homme)*

    Le Prix UNESCO/Bilbao pour la promotion d’une culture des droits de l’homme succède au Prix UNESCO de l’éducation aux droits de l’homme, créé en 1978 pour marquer le 30e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

    Objectifs
    Le Prix UNESCO/Bilbao pour la promotion d’une culture des droits de l’homme a pour objectif de récompenser les efforts des institutions, organisations ou des personnalités ayant contribué de manière particulièrement significative à la promotion d’une culture des droits de l’homme au niveau régional et international.

    Cette contribution pourra porter sur le développement de l’éducation et de la recherche en matière de droits de l’homme, sur la diffusion des connaissances et la sensibilisation des décideurs et du grand public aux questions et défis relatifs aux droits de l’homme, ainsi que sur la transmission de capacités et d’attitudes propres à renforcer le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Le prix pourra également être remis dans le but d’encourager et de stimuler les initiatives innovantes visant le renforcement d’une culture des droits de l’homme.

    A qui se destine le Prix ?
    Le Prix UNESCO/Bilbao pour la Promotion d’une Culture des Droits de l’Homme est remis aux institutions, organisations ou personnes qui ont apporté une contribution particulièrement significative, exemplaire et originale à la création d’une culture universelle des droits de l’homme.

    Le Prix UNESCO/Bilbao succède au Prix UNESCO de l’éducation aux droits de l’homme, créé en 1978 pour marquer le 30ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme. Pendant trente ans le Prix a servi à encourager l’éducation aux droits de l’homme et au service des droits de l’homme et à rendre hommage aux efforts accomplis dans ce domaine.

    Qui présente des candidats ?
    Les candidatures peuvent être présentées par les gouvernements des États membres, en consultation avec leurs Commissions nationales, et par des organisations non-gouvernementales qui maintiennent des relations formelles avec l’UNESCO. Les auto-candidatures ne pourront être examinées.

    Un formulaire standardisé de présentation doit être fourni à l’appui de chaque candidature. Il comprendra la description, en cinq pages maximum, en français ou en anglais, de, inter alia (tout document supplémentaire peut être joint en annexe, il ne seront pas retournés aux désignateurs) :

    (a) une description du parcours du candidat et de l’action accomplie

    (b) un résumé du travail et des résultats obtenus, publications et autres documents significatifs pour appuyer la candidature, soumis pour examen

    (c) une description de la contribution du candidat aux objectifs du Prix.

    Le formulaire standardisé - disponible en anglais et en français - est préparé par le Secrétariat du Prix, pour chaque remise du prix dans le cadre de l’exercice biennal.

    Qui désigne les lauréats ?
    Les lauréats sont choisis par le Directeur-Général de l’UNESCO, sur proposition d’un jury international composé de cinq personnalités représentant les différentes régions du monde.

    La recommandation du jury international se fonde sur les initiatives et résultats des candidats en fonction d’une série de critères énumérés à l’article 3 des Statuts.

    Le Prix, d’un montant d’au moins 20 000 dollars des États-Unis et accompagné d’un trophée, sera attribué au cours d’une cérémonie officielle le 10 Décembre, à l’occasion de la journée des droits de l’homme.

    

    http://www.unesco.org/new/fr/social-and-human-sciences/events/prizes-and-celebrations/unesco-prizes/unescobilbao-prize/

    *Coalition internationale des villes contre le racisme*

    La Coalition internationale des villes contre le racisme est une initiative lancée par l'UNESCO en mars 2004. Elle vise à établir un réseau des villes intéressées par l'échange d'expériences afin d'améliorer leurs politiques de lutte contre le racisme, la discrimination, la xénophobie et l’exclusion.

    En effet, des conventions internationales, des recommandations ou des déclarations internationales élaborées en amont ont besoin d'être ratifiées et mises en œuvre par les États. En même temps, il est extrêmement important d'impliquer les acteurs sur le terrain, y compris les victimes des discriminations et cela afin de garantir que les instruments proposés soient le mieux adaptés aux problèmes constatés. L'UNESCO a choisi les villes comme un espace privilégié pour lier entre elles les actions en amont et en aval. Dans ce contexte, les autorités municipales, en tant que décideurs politiques au niveau local, sont considérées comme les acteurs-clés dans la dynamisation du processus en question.

    L'objectif final est de réunir au sein d'une Coalition internationale toutes les villes désireuses de mener ensemble une lutte concrète contre le racisme. Afin de prendre en compte les spécificités et les priorités de chaque région du monde, des Coalitions sont d'abord créées à l'échelle régionale : en Afrique, en Amérique du Nord, en Amérique latine et aux Caraïbes, dans les États Arabes, en Asie et Pacifique, et en Europe. Grâce au rôle de coordination d'une ville désignée « chef de file », chaque région se dotera ainsi de son propre « Plan d'action en dix points ».

    Le Plan d'action en dix points est composé de dix engagements couvrant différents domaines de compétence locale tels que l'éducation, le logement, l'emploi ou les activités culturelles. Il suggère en particulier un certain nombre de choix d'action que les autorités locales peuvent compléter et développer. Les villes signataires s'engageront à intégrer le Plan d'action dans leurs stratégies et politiques municipales. Elles veilleront d'ailleurs à faire participer les divers acteurs de la société civile à sa mise en œuvre.

    Développement des coalitions régionales :

    Afrique : la Coalition africaine des villes contre le racisme et la discrimination a été lancée en septembre 2006, à Nairobi (Kenya).

    Amérique du Nord : la Coalition canadienne des municipalités contre le racisme et la discrimination (CMARD) a été officiellement lancée en 2007, à Calgary (Alberta).

    Amérique latine et Caraïbes : la Coalition des villes en Amérique latine et Caraïbes contre le racisme a été lancée en octobre 2006, à Montevideo (Uruguay).

    Asie et Pacifique : la Coalition des villes contre la discrimination en Asie et Pacifique a été fondée en août 2006, à Bangkok (Thaïlande). Son lancement officiel a eu lieu lors du deuxième Congrès mondiale des Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) à Jeju (Corée) en octobre 2007.

    États arabes : la Coalition a été lancée à l’occasion d’une cérémonie qui s'est déroulée à Casablanca (Maroc), ville désignée comme « chef de file » de ce réseau, le 25 juin 2008.

    Europe : la Coalition européenne des villes contre le racisme (ECCAR) a été lancée en décembre 2004 à Nuremberg (Allemagne).

    Pour plus d'informations :

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    *Concert d’aide pour le Japon à l’UNESCO*

    Plus de 100 musiciens de toute l’Europe vont participer à un concert d’aide au Japon qui se tiendra à l’UNESCO le 10 avril. Le chef d’orchestre Kanako Abe dirigera l’ensemble qui interprètera le Requiem pour orchestre à cordes de Toru Takemitsu et la neuvième symphonie d’Antonin Dvorak. Pour sa part, la jeune pianiste Mami Hagiwara jouera le Concerto pour piano de Maurice Ravel qui lui a valu l’an dernier le Premier Prix de piano du Concours de Genève.Plus de 12 000 personnes ont été tuées et 17 000 sont encore portées disparues après le séisme, suivi d’un tsunami, qui a frappé le Nord-Est du Japon il y a un mois. Des centaines de milliers d’élèves déplacés à la suite de la catastrophe ne vont plus en classe.

    « Cette crise, le Japon ne doit l’affronter seul », a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova. « C’est une responsabilité partagée. Nous avons tous été touchés par les images de cette catastrophe et nous travaillerons ensemble à la reconstruction de la région touchée ».

    Le concert est gratuit mais il sera possible de faire des dons. Ils iront dans leur intégralité aux 7008 écoles détruites ou endommagées par le séisme et le tsunami. La récolte des fonds est organisée par la Fédération des associations UNESCO du Japon (NFUAJ) qui a été fondée en 1948 et qui regroupe quelques 300 clubs et associations.

    Le concert, qui se tient sous le patronage de l’Ambassade du Japon en France et de la Délégation du Japon auprès de l'UNESCO, réunira des musiciens réputés, dont beaucoup de membres du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Il est co-organisé par l’Association internationale du personnel de l’UNESCO (AIPU), le Comité du concert pour les victimes du séisme au Japon (CSJP), en partenariat avec JAPONAIDE et le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMD). Il bénéficie notamment du soutien de la Société de perception et de distribution des droits des artistes-interprètes de la musique et de la danse (SPEDIDAM).

    08.04.2011
    UNESCO

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    vendredi 8 avril 2011

    *Yazid Sabeg : Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO*

     
    M. Yazid Sabeg
                                              Chef d’entreprise français
      
    Le chef d’entreprise français Yazid Sabeg a été nommé Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO par Irina Bokova, Directrice générale de l’Organisation. La cérémonie de nomination a eu lieu mardi 16 février 2010 au Siège de l’UNESCO.
     Cette nomination reconnaît l’engagement de Yazid Sabeg au profit de la jeunesse, de son action en faveur de la diversité culturelle et de son soutien aux projets de numérisation du savoir.

    Né en 1950, Yazid Sabeg, qui est docteur en sciences économiques, a été le plus jeune conseiller chargé des restructurations industrielles dans le cabinet du premier ministre français Raymond Barre, son professeur d’économie à l’université. En 1990, il prendra la direction de la Compagnie des signaux rebaptisée ultérieurement Communication et systèmes (CS). Cette société de près de 4.000 salariés est spécialisée dans l’intégration des systèmes d’information et de communication pour le secteur des télécommunications, des transports ou de la défense. 

    Yazid Sabeg a publié plusieurs ouvrages consacrés à la lutte contre les discriminations ethniques. Il est également l’auteur d’un « Manifeste pour l’égalité réelle » publié en novembre 2008. 

    Les Ambassadeurs de bonne volonté de l’UNESCO mettent leur talent et leur renommée au service des idéaux de l’Organisation afin d’intéresser le public à ses activités.

    19.02.2010
    UNESCO

    Ambassadeurs de bonne volonté de l'UNESCO

    Bien à vous,
    Morgane BRAVO




    jeudi 7 avril 2011

    *Forum Mondial de l'UNESCO: Classements et responsabilisation dans l’enseignement supérieur...*

    Forum Mondial de l'UNESCO: Classements et responsabilisation dans l’enseignement supérieur: bons et mauvais usages, Paris 16-17 mai 2011

    Les classements des universités suscitent un intérêt considérable. Ils font systématiquement la une, chaque année, dans les médias et sont étudiés de très près par les étudiants, les dirigeants d’institutions, les décideurs et les employeurs. Respectés par certains et condamnés par d’autres, ces classements font indéniablement partie des facteurs qui déterminent la perception que l’on a des établissements d’enseignement supérieur partout dans le monde. Comment expliquer l’importance et l’influence croissantes des classements ? Pourquoi les critères et la méthodologie utilisés pour les établir donnent-ils souvent lieu à des controverses ?
    Le Forum de l’UNESCO sur le thème « Classements et responsabilisation dans l’enseignement supérieur : bons et mauvais usages » (16-17 mai 2011 au Siège de l’UNESCO, à Paris) se penchera sur les classements des universités à la lumière de leur impact sur les politiques et les prises de décisions aux niveaux des institutions, des pays et des régions. Organisé en collaboration avec l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et la Banque mondiale, le Forum contribuera au débat en cours en offrant aux représentants des classements d’universités les plus largement observés et influents l’occasion unique d’engager avec les décideurs et les principales parties prenantes de l’enseignement supérieur un débat passionné et animé sur les avantages et les lacunes de ces classements ainsi que sur l’usage qui en est fait.
    Les classements d’universités seront également étudiés dans le contexte des outils de responsabilisation censés pérenniser et renforcer la qualité de l’enseignement supérieur. Les participants examineront les outils de responsabilisation qui font appel à des critères et des compétences divers tels que les dispositifs d’assurance de la qualité, l’étalonnage, l’évaluation des résultats d’apprentissage, l’accréditation et les licences, et l’évaluation.
    Le Forum réunira des représentants du Classement académique des universités mondiales (plus connu sous le nom de classement Jiao Tong de Shanghai), des Times Higher Education World University Rankings et des initiatives régionales et nationales de classement, telles que US News and World Report aux États-Unis et U-Multirank en Europe, ainsi que des décideurs de haut niveau, des chercheurs, des représentants des médias, des étudiants et des employeurs.
    La participation au Forum se fera uniquement sur invitation. Une publication s’appuyant sur les présentations et les débats sera largement diffusée après l’événement.
     UNESCO
    Bien à vous,
    Morgane BRAVO

    *L'UNESCO et le FC Barcelona mettent le racisme hors jeu*



    Bien à vous,
    Morgane BRAVO