lundi 1 octobre 2012

*L'AMBASSADEUR CARLOS DE ICAZA, PRÉSIDENT DE LA DEUXIEME RÉUNION DES ÉTATS PARTIE DE LA CONVENTION DE L'UNESCO 1970*

CARLOS DE ICAZA, PRÉSIDENT DE LA DEUXIEME RÉUNION DES ÉTATS PARTIE DE LA CONVENTION DE L'UNESCO 1970


"L'’ambassadeur Carlos de Icaza, représentant permanent du Mexique auprès de l’UNESCO, a été élu à l’unanimité Président de la deuxième réunion des Etats partie de la Convention concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l'importation, l'exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels (Convention de 1970), qui se tient au siège de l’Organisation les 20 et 21 juin.
La deuxième réunion des Etats partie a été organisée à la demande de la directrice générale de l’UNESCO, Mme Irina Bokova, en réponse à la pétition des Etats et experts réunis en mars 2011 à l’occasion du 40ème anniversaire de la Convention de 1970.

La réunion étudiera l’impact des mesures adoptées par les Etats partie de la Convention afin d’optimiser leur mise en place et d’évaluer leur efficacité, notamment en ce qui concerne les nouvelles tendances du trafic illégal de biens culturels. Cette deuxième réunion examinera également les propositions faites pour améliorer les mécanismes de suivi, de contrôle et de gouvernance de ce traité international.

La Convention de 1970 a été le premier instrument juridique multilatéral en matière de trafic illicite de biens culturels. Cette Convention, actuellement ratifiée par 122 Etats, comprend des dispositions en matière de prévention, de restitution et de coopération internationale contre le pillage, l’importation ou l’exportation de biens culturels. Le Mexique a déposé son instrument de ratification le 4 octobre 1972. Il a été le huitième pays à adhérer à la Convention.

Après plus de 40 ans d’adoption de la Convention par la Conférence générale de l’UNESCO, les Etats partie ont reconnu que la réglementation contenue dans celle-ci n’est pas suffisante et qu’elle doit être renforcée afin de lutter plus efficacement contre le trafic illicite de biens culturels et en faveur de leur restitution vers leur pays d’origine, particulièrement en ce qui concerne les biens provenant de fouilles illégales et de pillages de sites archéologiques.

Etant donné la grande richesse patrimoniale de notre pays qui est quotidiennement confronté à des menaces de fouilles clandestines, le Mexique a encouragé et promu le thème du trafic illicite de biens culturels dans les rencontres multilatérales. En outre de souscrire les principaux instruments internationaux pour la protection de son patrimoine culturel, le Mexique a signé des accords bilatéraux dans ce domaine avec des nations comme les Etats-Unis, le Guatemala, le Pérou, le Belize, la Bolivie et le Salvador. Grâce à ces conventions, le Mexique a réussi à récupérer près de 3.900 pièces archéologiques et historiques au cours de ces dernières années.

A la suite de son élection en tant que Président de cette réunion, l’ambassadeur Carlos de Icaza a rappelé que la Convention de 1970 revêt une grande importance historique. « Elle synthétise l’engagement des Etats à établir un mécanisme de coopération internationale à effets universels entre Etats pour lutter contre le trafic illicite de biens culturels », a-t-il indiqué.

Il a reconnu que depuis l’adoption de cette Convention, « les méthodes des réseaux délictueux qui font du trafic du patrimoine de nos pays se sont considérablement améliorées », raison pour laquelle il est nécessaire de renforcer l’efficacité de cet instrument et d’élaborer des stratégies en vue d’une meilleure application ce celui-ci.

Par ailleurs, Monsieur de Icaza, a mentionné qu’en quarante ans d’existence, la Réunion des Parties de cette Convention ne s’est déroulée qu’une seule fois. « Je propose d’appuyer la conciliation de positions pour trouver un mécanisme qui éviterait d’avoir à attendre encore 40 ans pour organiser une autre réunion de ce type. Nous devons poser les jalons qui permettront de mieux suivre l’application de la Convention. Il s’agit d’une tâche urgente pour laquelle sont attendus, pour de nombreuses années, des résultats de la part de l’UNESCO ».

L’élection de l’ambassadeur Carlos de Icaza comme Président de la deuxième réunion des Parties de la Convention de 1970 est un reflet de la reconnaissance internationale vis-à-vis du rôle important que joue le Mexique dans les forums multilatéraux sur ce thème".


Bien à vous,
@MorganeBravo
 Red de Talentos Mexicanos en el Exterior 
Capítulo Francia 
Responsable Antena Paris &
Responsable del sector estratégico de Ciencias Sociales a nivel Europeo

dimanche 30 septembre 2012

*Mexique : Biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial*

Le Mariachi entre à l'UNESCO


Mexique :

Biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial (31)


                                                      Acceptation de la Convention : 
jeudi 23 février 1984

                                                                    Mandats au Comité du patrimoine mondial :
1985 - 19911991 - 19971997 - 2003 2009 - 2013

                                                Culturel

Naturel


Biens soumis à la Liste indicative (31)



                                                                       Link :

                                *Le Mexique : Biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial...UNESCO*

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